Les survivantes: un film coup de poing sur l'existence de réseaux pédo-criminels

19/06/2024

Les Caryatides se sont données pour mission de protéger la vie des enfants.

Cela passe à la fois par la restauration de la famille traditionnelle et du rôle de la femme au sein de celle-ci, c'est à dire la maternité et le soin du foyer, et sur le plan étatique et sociétal, par la dénonciation de toutes les pratiques dont il résulte un danger pour la vie : la pratique de l'IVG jusqu’à sa constitutionnalisation aujourd’hui, la GPA et la marchandisation du ventre et des enfants qu'elle entraîne.

En tant que gardiennes de la vie, ayant aujourd'hui connaissance de l'existence effroyable de réseaux dits pédo-criminels, lesquels peuvent être requalifiés de réseaux pédo-satanistes, (puisqu’il s’agit d'abus rituels par des sacrifices humains, en l'occurrence, des enfants), nous ne saurions rester silencieuses.

C'est pourquoi nous nous sommes efforcées, non sans difficulté mais par devoir, d'aller visionner le film LES SURVIVANTES, de Pierre Barnérias.

Ce film met en lumière les témoignages de 8 survivantes à des réseaux combinant pédophilie, criminalité, pouvoir, programmation MK ultra et satanisme sur les territoires français et belge. Il s’agit d’un véritable plongeon au cœur de l'horreur. En effet, ces femmes dénoncent les crimes rituels dont elles ont été les victimes alors qu'elles n'étaient encore que des enfants, avec la complicité de personnes travaillant au sein d’institutions notoires telles que l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance), de policiers, de magistrats, de hauts fonctionnaires d’état parfois membres du gouvernement, de directeurs d’école et/ou d'hôpitaux, d’éducateurs et parfois même, de leurs propres parents ! Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas ici d’un épiphénomène mais d’un mode de vie, à la fois invisibilisé et impuni, auquel s’adonne des gens puissants ou non, mais supposés avoir pour mission la protection du bon peuple et plus particulièrement des enfants.

L’inversion des valeurs donne le tournis et dit la profondeur du mal.

Aussi difficile que cela soit, nous appelons toutes les âmes courageuses et de bonne volonté à aller voir le film, actuellement au cinéma (mais pour combien de temps ?) et à partager le lien et les horaires du film : https://lessurvivantes-lefilm.com

Dans son livre "viol d'anges", la magistrate Martine BOUILLON écrivait : « La pédophilie est le crime le plus grand et le plus grave de l'humanité, car les enfants victimes de sévices sexuels sont détruits à vie. A crime exceptionnel, je suis partisane d'opposer une loi d'exception. » Vous la retrouverez également dans ce film, témoignant à nouveau des dossiers qu'elle a eu entre ses mains.

Rompre l’omerta sur l’existence des réseaux pédo-criminels relève du devoir moral de tout un chacun. Ces femmes, survivantes, témoignent dans ce film au péril de leur vie dans l’espoir de sauver d’autres victimes et de leur permettre de parler à leur tour. Elles nous donnent une leçon de bravoure. Nous leur devons d’aller voir le film, de dénoncer avec elles l'ignominie de ces pratiques et de nous lever massivement car il s’agit d’une lutte directe avec le diable et ses agents sur terre. Une lutte qui, si elle n’était pas menée, engage notre responsabilité collective à l’égard de notre avenir : les enfants.

Gabrielle MICHELLE, membre des Caryatides.